S'il est quelque chose auquel on pense spontanément losqu'on parle de religion, c'est bien la prière. Chacune d'entre elle a une manière de s'adresser à la divinité, d'être en relation avec elle. Ainsi, solitaire et collective, la prière est une marque du croyant. On la reçoit au berceau en quelque sorte dans son éducation. Cependant, il n'est pas rare d'entendre que les jeunes ne prient plus, que cette activité entre guillemets est plutôt réservée à ceux qui ont du temps, à ceux qui sont plus âgés, voir que les filles prient plus que les garçons ! Le plus important serait d'être un chrétien d'action par des gestes de partage et de solidarité. Se pose alors la question de l'utilité de la prière : pourquoi prie.t-on ? Pour réussir un examen ? Une épreuve sportive ? A ce moment là, la prière ne devient-elle pas quelque chose de magique, un peu comme dans les religions païennes où l'on faisait des offrandes pour se conciler les bonnes grâces de la divinité ?. Et puis il y a les mots de la prière, ces mots reçus, transmis et que l'on dit parfois machinalement, sans trop y penser : Le "Notre Père" par exemple. Comment faire pour que ces mots là deviennent aussi les mots de ceux qui les prononcent ?.
Ces questions parmi d'autres seront posées par des jeunes du Collège Saint Jean Baptiste de la Salle de Nîmes à leur invité, le Frère Emile de la communauté de Taizé.
Avec la participation de Sketch Up Compagnie : "Notre Père" d'après l'Evangile de Matthieu 6, 9-15.
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